olivier michel

Olivier Michel

« Oeuvre discrète, « J’use mon bic », 2001, consiste en un rouleau de papier couvert d’autant de traits déroulés — gestes dérisoires, accessibles à tout le monde — qu’est capable de faire un stylo à bille avant de s’épuiser : là, on a affaire simultanément à une logique cumulative (le dessin s’accumule sur le support), à une logique soustractive (par le transfert) et à une logique d’évidement, où le temps même s’épuise. Si la logique soustractive épuise l’outil (le stylo), l’épuisement épuise le possible. »
Olivier Michel
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